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Convention du Cap dénoncée, mais réflexion menée pour le faire subsister

Les quatre communes qui subventionnent le Centre d'animation et de prévention de la santé (Cap) du Landeron ont dénoncé, au 31 décembre 2017, la convention les y liant En cause, la charge financière de la structure et sa baisse de fréquentation. Mais des projets concrets sont lancés pour permettre aux jeunes d'avoir un lieu où se rencontrer.

05 déc. 2016, 22:31
/ Màj. le 06 déc. 2016 à 06:30
L'avenir du Cap est incertain, mais une étude est menée pour l'assurer.

S'ouvrir à l'extérieur, aller à la rencontre des jeunes sur le terrain, là où ils se trouvent, leur proposer des activités répondant à leurs aspirations Telles sont les ambitions d'un comité de réflexion né des communes du Landeron, de Lignières, de Cressier et de Cornaux en vue de sauver le Centre d'animation et de prévention de la santé (Cap), créé voici 18 ans, au Landeron. Centre qui lui, a mal à sa santé. Les charges qu'il engendre sur ces quatre communes sont jugées trop lourdes en regard du taux de fréquentation qui chute. A tel point que Le Landeron, Lignières, Cressier et Cornaux ont dénoncé la convention y relative avec effet au 31 décembre 2017. Mais une réflexion est menée afin d'y remédier. Pour mieux cibler les demandes des jeunes et s'y adapter, un questionnaire a été envoyé à 325 élèves du Centre des Deux Thielles (C2T). Plus de 60%, tous niveaux confondus, y ont répondu. En tenant compte de ces souhaits, la réflexion menée permettra de mettre en place et de restructurer la stratégie et le rôle du Cap afin  qu'il puisse reconquérir l'intérêt des adolescents en répondant à leurs besoins.

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