Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Cette réforme scolaire n’est pas parfaite», admet la ministre

Monika Maire-Hefti répond aux critiques concernant la suppression d’une heure d’allemand.

24 févr. 2017, 01:33
Val-de-Travers: Camp d'immersion en allemand.

COUVET 19 04 2012
PHOTO: CHRISTIAN GALLEY VAL-DE-TRAVERS

Le cri d’alarme des enseignants d’allemand de 10e année a-t-il été entendu? Début janvier, une majorité d’entre eux écrivaient au Conseil d’Etat neuchâtelois pour dénoncer la suppression d’une période d’allemand de la grille horaire depuis août 2016 (notre édition du 28 janvier).

En effet selon la réforme cantonale de l’école obligatoire, tous les élèves de fin de scolarité obligatoire (10e et 11e) suivent trois heures d’allemand par semaine, au lieu de quatre auparavant pour les filières moderne et maturité.

Dans leur lettre, les signataires, issus de douze collèges du canton, soulignaient la difficulté, voire l’impossibilité de tenir le programme d’allemand avec 40 périodes de moins durant l’année scolaire.

Préoccupés par ces «dysfonctionnements évidents», les Vert’libéraux neuchâtelois ont demandé des explications au Gouvernement. «Le Conseil d’Etat prévoit-il de corriger cette situation? Ne craint-il pas que les élèves qui arriveront à la fin de l’école obligatoire ne se retrouvent confrontés à...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias