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Certaines communes paient trop, selon les socialistes

21 févr. 2017, 00:35
Groupe d'enfants dans une creche a Berne

Gruppenleiterin Sandra Buri betreut am 25. Juni 2002 in Bern in der Kindertagesstaette Taka-Tuka Kinder der Gruppe Rot. 

Le 25 juin 2002 
Alessandro della Valle ENFANTS

Le groupe socialiste au Grand Conseil neuchâtelois veut faire avancer la politique d’accueil préscolaire et parascolaire des enfants, notamment la question de son financement. Plusieurs députés socialistes ont signé un projet de modification de la loi cantonale en la matière.

Pour les signataires du texte, l’un des problèmes vient du fait que les communes ne contribuent pas à la même hauteur, financièrement.

Dans le système actuel de financement de l’accueil, l’Etat et les entreprises (à hauteur de douze millions de francs au maximum) n’assument qu’une partie de la facture. Quant aux communes, elles doivent compléter la part du coût non financée par les parents. Ceux-ci paient en fonction de leur capacité contributive, ce qui débouche sur le paradoxe que les communes les plus «pauvres» sont aussi celles qui doivent mettre le plus la main au porte-monnaie.

Présidente du Parti socialiste neuchâtelois (PSN) et première signataire du texte, Corine Bolay Mercier...

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