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Pourquoi les hôteliers neuchâtelois ne peuvent pas se passer de booking.com

Président de la section Neuchâtel-Jura d'Hôtellerie Suisse, Martin Mayoly estime qu'aujourd'hui les clients sont plus dépendants que les hôteliers des sites de réservation en ligne comme booking.com. Ceux-ci représentent actuellement près du quart des réservations de chambres.

20 sept. 2017, 16:24 / Màj. le 20 sept. 2017 à 18:00
Aujourd'hui, les réservations hôtelière passent le plus souvent par des plateformes de réservation en ligne.

Lundi, le Conseil national acceptait, après le Conseil des Etats, une motion demandant de mettre fin à l'interdiction faite aux hôteliers suisses de proposer sur leur propre site internet des tarifs plus avantageux que les sites de réservation en ligne. Parmi ceux-ci, le plus important, booking.com, représente 70% du marché en Suisse.

>> A lire aussi: "Booking.com taclé par les élus"

La clause qui fâche

Président de la section Neuchâtel-Jura de l'association professionnelle Hôtellerie Suisse, Martin Mayoly se réjouit de cette décision politique. Mais il ajoute que depuis que booking.com est arrivé sur le marché suisse au début des années 2010, la situation s'est nettement améliorée.

"A l'époque", explique-t-il, "nous étions pieds et poings liés dans les contrats que nous devions signer avec eux. Nous n'avions pas du tout le droit de proposer, sous quelque forme que ce soit, des prix plus bas que ceux définis sur booking. Aujourd'hui, cette...

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