Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Un pouvoir assis sur la terreur

24 févr. 2017, 01:33
North Korean leader Kim Jong Un waves at parade participants at the Kim Il Sung Square on Tuesday, May 10, 2016, in Pyongyang, North Korea. Hundreds of thousands of North Koreans celebrated the country's newly completed ruling-party congress with a massive civilian parade featuring floats bearing patriotic slogans and marchers with flags and pompoms. (AP Photo/Wong Maye-E) KOREA NORD PARTEIKONGRESS

Les assassinats en série sont une affaire de famille au sein de la dynastie nord-coréenne des Kim. Et Kim Jong-Un se fait un point d’honneur de respecter les coutumes. Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-Il (mort en 2011), les purges lui ont permis de faire le ménage parmi l’élite et les opposants. Même son demi-frère y est passé: le dictateur est très certainement derrière la mort de Kim Jong-Nam, empoisonné la semaine dernière dans l’aéroport de Singapour.

Les purges sont-elles le signe d’une instabilité au sommet du pouvoir à Pyongyang? Eléments de réponses.

Si la famille royale, c’est sacré, le dirigeant nord-coréen n’hésite pas à couper des branches de l’arbre généalogique pour rappeler qu’il est le leader incontesté de l’armée, du parti et du pays. Ce fut le cas en décembre 2013 de Jang Song-Thaek, le tonton flingué. L’ex-tuteur de Kim Jong-Un était accusé de trahison et...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias