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Tractations politiques de la dernière chance à Berlin

Les négociations pour former une majorité «Jamaïque» au Bundestag devaient s’achever hier soir. Avec le risque de nouvelles élections.

20 nov. 2017, 00:48
German chancellor Angela Merkel is on her way to another round of exploratory talks of her Christian parties' bloc , the Free Democrats and the Green Party, in Berlin, Sunday, Nov. 19, 2017. They are seeking compromises on the thorny issues of migration and climate change so they can proceed with formal talks on forming a new coalition government. ( Joerg Carstensen/dpa via AP) Germany Politics

La décision devait être prise. Un mois après le début des négociations pour former une coalition dite «Jamaïque» au Bundestag, la CDU, la CSU, le FDP et les Verts avaient chacun atteint leurs limites. Hier soir, l’Allemagne devait donc savoir si ces quatre partis antagonistes se jugeaient capables de gouverner ensemble ou s’ils jetaient l’éponge. Un tel échec devait signifier l’organisation probable de nouvelles élections. Angela Merkel, fragilisée par une trop courte victoire aux élections fédérales du 24 septembre, la plus faible de la CDU depuis 1949, jouait son avenir politique.

Le suspense a duré toute la journée et jusqu’à la dernière minute, l’échéance de 18h ayant été repoussée à plus tard. «L’échec est dans l’air», titrait «Bild» sur son site internet. «Je suis toujours par principe optimiste, même s’il a déjà eu des négociations plus faciles», assurait au contraire l’une des vice-présidentes de la CDU, Julia Klöckner. «J’appelle à...

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