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La droite espagnole reste embourbée dans les affaires

Des scandales de corruption à répétition entravent les efforts de Mariano Rajoy pour former un gouvernement de coalition.

13 févr. 2016, 00:59
epa05155350 Spanish acting Prime Minister Mariano Rajoy attends the ceremony of the 'Car of the year 2016' organized by ABC newspaper in Madrid, Spain, 11 February 2016. The Spanish Civil Guard conduct four search operations at the headquarters of the ruling party, Popula Party, in order to take the computer of the former manager of the party Beltran Gutierrez Moliner. The operation was ordered by judge Javier Lopez during the operation 'Punica', which began in October 2014 after investigating several Spanish mayors from four Spanish regions for their alleged involvement in a network for collecting commissions to award contracts, worth at 250 million euro.  EPA/MARISCAL SPAIN PARTIES CORRUPTION POPULAR PARTY

Les gardes civils sont entrés, jeudi, au numéro 13 de la Calle Génova, le siège national du Parti populaire (PP, droite) et celui de sa fédération régionale madrilène. Au premier étage, dans le bureau d’un ex-gérant du PP madrilène – démissionnaire après sa mise en examen dans une autre affaire –, les agents ont examiné papiers et ordinateurs. Dans l’immeuble où Mariano Rajoy a son bureau de président du PP, les enquêteurs recherchaient les traces d’une affaire de financement illégal.

Le parti est soupçonné d’avoir reçu des pots-de-vin d’une entreprise de BTP (bâtiments et travaux publics) en échange de projets urbanistiques. Une affaire de plus pour le PP.

Quelques heures auparavant, c’était l’ex-président régional des Baléares, Jaime Matas, qui reconnaissait devant un juge avoir favorisé les affaires du beau-frère du roi Felipe VI, Iñaki Urdangarín, dans le seul but «d’être en bons termes avec la famille royale». Hier matin, un...

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