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Après raffineries, les centrales nucléaires en grève

Le gouvernement a promis d’empêcher la paralysie du pays par les syndicats.

26 mai 2016, 00:47
epa05327150 A note reads 'Shortage on all Fuel' at a gas station closed following the blockades of several oil depots by protesters opposed to the governments proposed labour law reforms, in Denain, northern France, 24 May 2016. A strike hit oil refineries, fuel depots and petrol stations across France.  EPA/THIBAULT VANDERMERSCH FRANCE LABOR DISPUTE FUEL SCARCITY

Après les carburants, l’électricité. C’est au tour d’une autre source d’énergie majeure d’être prise dans la spirale des mouvements sociaux. Les personnels des 19 centrales nucléaires françaises ont voté la grève pour jeudi, journée nationale d’action contre la loi Travail, a déclaré Marie-Claire Cailletaud, porte-parole de la fédération de l’énergie et des mines de la CGT.

Le mouvement, qui devait débuter mercredi à partir de 20h (18h GMT), devrait entraîner des baisses de charge, mais non l’arrêt des centrales, a-t-elle précisé à Reuters.

Freiner les syndicats

Le gouvernement français a promis hier d’empêcher les syndicats opposés à la réforme du Code du travail de paralyser le pays. Il a recouru à des mesures exceptionnelles, comme des ponctions dans les réserves stratégiques de carburant et des interventions musclées pour débloquer des dépôts.

«Ma porte est toujours ouverte pour le dialogue mais la CGT ne fait pas la loi dans ce...

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