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La plume et l’écran

16 nov. 2017, 01:15
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Margaret Atwood, c’est l’écrivain qui fait le buzz télé du moment. Au Canada, c’est une star des lettres depuis son premier roman en 1969, «La femme comestible», et dans le monde anglophone, ses livres sont étudiés à l’université. D’ailleurs «The Handmaid’s Tale», en français «La servante écarlate», n’a pas attendu la télé pour être un succès: paru en 1985, il s’est vendu à des millions d’exemplaires dans le monde. Mais son adaptation actuelle par le site web de vidéo à la demande Hulu résonne étrangement avec l’Amérique de Trump et fait un carton. Huit trophées aux Emmy Awards en septembre, dont celui de la meilleure actrice pour Elisabeth Moss.

Pourquoi un tel succès? Parce que Margaret Atwood est un écrivain génial, tout simplement, même si l’on ne sait pas trop s’il faut d’abord regarder la série, ou lire le livre. Dans sa dystopie, Defred est la «servante écarlate» d’un Commandant...

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