George Romero, le pape des morts-vivants récemment décédé, aurait probablement aimé se promener entre les acryliques comico-gore de Yannick Lambelet, fraîchement revenu d’un voyage dans la cité pétrifiée d’Epecuén en Argentine avec de nouveaux travaux.
Car l’artiste chaux-de-fonnier, inspiré par la pop culture et notamment l’univers du manga et des jeux vidéos, expose des figures horrifiques et héroïques connues des amateurs de «Resident Evil», mais aussi plusieurs zombies issus de «Game of Thrones» ou «The Walking Dead», des références qui l’aident à construire un monde où les morts-vivants ne sont pas uniquement sur le canevas...
Les scénarios apocalyptiques d’une société consumériste en train d’imploser hantent la production de Yannick Lambelet depuis quelques années déjà. Nous ne serons donc pas surpris de tomber, à peine entrés, sur quatre imposants cavaliers de l’Apocalypse, grands formats réunis dans un projet commun avec Michaël Rampa, David Weishaar et Sébastien Mettraux, intitulé «In Dust We...