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Acheter un logement, oui, lancer son entreprise, non

Le Conseil fédéral envoie en consultation une réforme des PC. Il devrait être plus difficile à l’avenir de prélever les fonds du deuxième pilier sous forme de capital.

26 nov. 2015, 00:52
Journalisten besichtigen zwei Badezimmer in einer bereits bezogener Wohnung, anlaesslich der Besichtigung der neuen staedtischen Wohnsiedlung an der Rautistrasse in Zuerich-Altstetten, am Donnerstag, 23. Oktober 2014. Die neue staedtische Wohnsiedlung Rautistrasse steht kurz vor der Vollendung. Seit September werden die 104 preisguenstigen Wohnungen in Etappen bezo- gen.  (KEYSTONE/Anthony Anex)



 SCHWEIZ ZUERICH STAEDTISCHER WOHNUNGSBAU

La Confédération et les cantons consacrent 4,7 milliards de francs par année aux prestations complémentaires (PC). C’est à peu près l’équivalent du budget de l’armée. Ce chiffre met en évidence l’importance de la réforme envoyée, hier, en procédure de consultation.

«Il ne s’agit pas de réduire le niveau des prestations», assure le chef du Département de l’intérieur, Alain Berset. «Par contre, il importe de préserver les avoirs du deuxième pilier pour éviter le recours aux PC.» C’est pourquoi la limitation des possibilités de retrait en capital est au cœur de la réforme.

Actuellement, il est possible de retirer de façon anticipée une partie du capital de sa caisse de pension pour acquérir un logement ou pour se lancer dans une activité lucrative indépendante. Les assurés peuvent aussi retirer au moins le quart de leur avoir de vieillesse sous forme de capital au moment de la retraite.

A l’avenir, il restera...

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