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Quand la mort nous sourit

John Carroll Lynch passe derrière la caméra et offre un dernier rôle sur mesure au regretté Harry Dean Stanton.

13 déc. 2017, 00:50
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Raphaël ChevalleyLucky, un cow-boy solitaire nonagénaire, mène une vie bien réglée dans une bourgade anonyme située en plein désert de l’Arizona.

Jouant la montre contre la mort, il répète chaque jour le même rituel: après avoir fumé sa cigarette et avalé son verre de lait quotidien, il fait son yoga, enfile ses bottes, s’attable au «diner» pour y faire ses mots croisés et finit par se répandre en théories métaphysiques au bar du coin, pour démontrer à qui veut l’entendre qu’il est le plus malin.

A la suite d’un malaise et de la découverte dans le dictionnaire de la définition exacte du mot «réalisme», il débute une quête introspective de grande ampleur…

Des acteurs en état de grâce

Acteur de formidables seconds rôles («Fargo» et «Shutter Island»), John Carroll Lynch passe pour la première fois derrière la caméra avec ce récit d’initiation crépusculaire, qui offre des rôles sur mesure à...

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