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Une montre, c’est un message fort

Rencontre avec Patrick Pruniaux, nouveau patron d’Ulysse Nardin.

16 janv. 2018, 00:01
Visitors gather at the Parmigiani booth, during the first day of the 28th edition of the Salon International de la Haute Horlogerie, SIHH, in Geneva, Switzerland, Monday, January 15, 2018. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi) SWITZERLAND EXHIBITION SIHH 2018

Patrick Pruniaux, 45 ans, vit son premier Salon international de la haute horlogerie (SIHH) à Genève en tant que patron d’Ulysse Nardin. Il se dit très admiratif de la marque dont il a «hérité», après être passé par Tag Heuer et Apple, notamment.

Un temps spécialiste des chronomètres de marine, Ulysse Nardin garde, depuis les Montagnes neuchâteloises, un attachement à la mer. Patrick Pruniaux assume avec bonheur cet héritage, tout en soulignant que la marque est d’abord le produit de l’endroit où elle est fabriquée.

L’horlogerie a traversé une dépression. Comment Ulysse Nardin sort-elle de ce gros temps?

Nous avons suivi le mouvement de l’industrie. Je ne peux donner ni chiffres de production, ni nombre d’emplois.

Comment avez-vous trouvé l’entreprise à votre arrivée?

C’est une société qui possède une forme d’humilité, d’authenticité, l’attachement à un terroir, tout cela se sent. Ulysse Nardin est restée en retrait par rapport au marketing...

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