L’horlogerie a perdu 3000 emplois en deux ans. C’est l’estimation faite par la Convention patronale, selon la “Neue Zürcher Zeitung”. Le tout sans compter la suppression des postes occupés par des intérimaires.
Par ailleurs, 10% des fabricants et des sous-traitants auraient recours au chômage partiel. Le tout sur fond de fonte des exportations et de restructurations abruptes chez Richemont. Que ce soit sur le plan de la production ou à la tête du groupe et de ses marques.
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