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Y a-t-il une ville après le centre commercial?

L’explosion de la mobilité, professionnelle ou de loisir, permet aux villes qui attirent des consommateurs de booster leur économie. Pour autant que les constructions soient à la hauteur.

23 oct. 2017, 15:23 / Màj. le 23 oct. 2017 à 17:27
Vue aérienne de Neuchâtel - Le stade de la Maladière

«Quand le bâtiment va, tout va.» Attribué au maçon français Martin Nadaud, député de la Creuse, en 1850, cet adage d’entrepreneur représente l’immobilier comme un simple produit dérivé de l’activité économique: alors que les entreprises créent des emplois et des richesses, le marché immobilier répond aux besoins en bâtiments pour l’habitat et le commerce découlant de ces activités.

Les organisateurs des «Journées du territoire» font à l’inverse l’hypothèse que l’immobilier peut stimuler l’activité économique.

Ces rencontres réuniront à la HE-Arc, le 27 octobre, des chercheurs en sciences sociales et des hommes et femmes de terrain: architectes, urbanistes, élus cantonaux et communaux, responsables d’administration.

La Chaux-de-Fonds

Objectif: envisager une manière de développer les villes du canton qui soit favorable à l’essor des activités économiques.
Thierry Theurillat, assistant de recherche en géographie économique à la HE-Arc, observe que les villes «sont de plus en plus en concurrence entre elles pour attirer résidants...

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