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«L’Hebdo» est mort et «Le Temps» saigne

Malgré les discussions entre employeurs et employés, 36 postes sont biffés au «Temps» et à «L’Hebdo». Un plan social sera négocié.

17 févr. 2017, 01:02
ARCHIV --- ZU DEN STELLENKUERZUNGEN BEI L'HEBDO UND LE TEMPS STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Un exemplaire du journal Le Temps est visible dans la newsroom du journal Le Temps ce mercredi 1 fevrier 2017 a Lausanne. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SCHWEIZ MEDIEN STELLENABBAU

Les coupes au sein du quotidien «Le Temps» et la suppression de «L’Hebdo» se soldent par 25 licenciements et 11 départs à la retraite anticipée, soit un total de 36 postes fixes. En outre, sept journalistes pigistes voient leur mandat se terminer. Tel est le bilan final de la restructuration voulue par l’éditeur Ringier Axel Springer SA Suisse romande.

Annoncée il y a trois semaines, la mise à mort de «L’Hebdo» et la réduction de la voilure du «Temps» n’a guère évolué avec des discussions entre l’employeur et les employés: alors qu’il était question de 37 postes fixes au départ, la coupe s’élève à finalement 36 postes... La Société des rédacteurs et du personnel détaille les mesures: 23 journalistes de la newsroom (la rédaction commune aux deux titres), cinq graphistes, deux iconographes, une correctrice, une secrétaire et trois personnes des services marketing. En déduisant le nombre d’employés historiquement liés à...

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